« Je chanterai sans fin les miséricordes de Dieu. »

 

Saint Louis de Gonzague

(1568-1591)

 

 

Louis de Gonzague

Tableau de Francisco de Goya (1781-1785), Museo Provincial (Saragosse, Espagne)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Gonzague

 

 

 

 

« Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées,

la valeur n’attend point le nombre des années. »

 

Ces deux vers tirés de la pièce « Le Cid » de Pierre Corneille (1606-1684) aurait pu être prononcés par saint Louis de Gonzague !

 

Comme tant d’autres saints que nous avons rencontrés dans « Pierres Vivantes », Louis de Gonzague a traversé ce monde et ses séductions comme une étoile filante !

 

Pourtant, malgré son jeune âge, la Sainte Eglise, dans sa sagesse maternelle, l’a béatifié le 12 mai 1604, lors d'un synode à Mantoue présidé par le pape Clément VIII (1536-1605) ou, d’après d’autres sources, le 19 octobre 1605 par le pape Paul V (1550-1621). Il a été canonisé le 26 avril 1726 par le pape Benoît XIII (1649-1730). Sa fête liturgique est célébrée le 21 juin. Saint Louis de Gonzague a été déclaré « Patron céleste de toute la jeunesse chrétienne » par le pape Pie XI le 21 juin 1925. Ses reliques reposent en l’église Saint-Ignace de Rome.

 

 

 

 

 

 

 Enfance et Adolescence

 

Louis de Gonzague est né le 9 mars 1568 à Castiglione delle Stiviere, province de Lombardie en Italie. Il était le fils de Ferdinand I° Gonzague (1544-1586), Seigneur puis Marquis de Castiglione, et de Marta Tana de Santena (1550-1605). Tous deux étaient issus de familles illustres où l'on comptait nombre d'évêques et de cardinaux. Ferdinand, en catholique fidèle, avait refusé une haute dignité offerte par Henri VIII d'Angleterre. Marta s'adonnait aux œuvres de charité et aux lectures spirituelles.

 

Avant la naissance de Louis, sa mère, en danger de mort, avait fait vœu de consacrer son enfant à Notre-Dame de Lorette si elle obtenait une heureuse délivrance. La naissance s'était présentée dans des conditions si difficiles que Louis fut ondoyé immédiatement ; le baptême solennel eut lieu le 20 avril 1568. Mais tous deux furent sains et saufs ! Il fut même l'aîné d'une famille de dix enfants !

 

 

www.santuariosanluigi.it/san_luigi.html

 

 

 

Louis fut, dès le début, le modèle du calme le plus aimable. Il lui arrivait, plus grand, de disparaître : on le retrouvait dans quelque coin, à genoux et les mains jointes. Sa mère avait le désir qu'il se consacrât à Dieu, mais son père le destinait à la carrière militaire et politique. Il lui avait fait faire un costume de soldat et des armes adaptées à ses quatre ans. Un jour, il l'emmena à la forteresse de Casale où Louis, fort réjoui, chargea lui-même, à l'insu de tous, une petite pièce de campagne. Quand le coup partit, on crut à une révolte, et Louis faillit être tué par le recul de la pièce. Il se mit également à employer le langage des soldats.

 

Quand son père embarqua ses troupes pour Tunis, Louis retourna dans sa famille. Ce fut la fin de ce qu'il appela plus tard « sa vie de péché » - il en eut toujours une très grande honte !

 

Voici une anecdote qui reflète bien sa confiance et son amour de Dieu : un jour, quelqu'un lui demanda, alors qu'il était enfant et qu'il jouait, « Si vous deviez mourir dans une heure que feriez-vous ? » Louis répondit « Je continuerais à jouer. »

 

 

www.flickr.com/photos/immaculata/page5/

 

 

 

Revenu de son expédition en 1577, Ferdinand envoya Louis et son frère Rodolphe à Florence, à la cour du Grand Duc, François I° de Médicis. Louis étudiait le latin et le toscan, dialecte italien mis à l’honneur par Dante, Pétrarque et Boccace. Il était cité en exemple aux princesses Eléonore et Marie de Médicis.

 

Louis entreprit une lutte acharnée contre les défauts qu'il s'était découverts : la colère, l'impatience, le mécontentement intérieur ; il ne connaissait pas encore la prière mentale, mais la lecture d'un petit livre sur les mystères du Rosaire, développa sa dévotion envers la Mère de Dieu. C'est à l'église des Servites, devant la Vierge de l'Annonciation, qu'il fit, à cette époque, son vœu de chasteté perpétuelle, et bien qu'il ne subît jamais la moindre tentation, il se livra, dès lors, à une vigilance et à une mortification sévères.

 

A l'automne 1579, son père l'appela à Mantoue où il fut atteint des premiers symptômes de la maladie de la pierre (calculs urinaires). Mis au régime, on obtint une guérison parfaite, mais sa santé générale en fut tout de même ébranlée. Quelques mois plus tard, à Castiglione il décida de continuer les jeûnes où il avait trouvé le bien de son âme. Il passait en contemplation des heures entières pendant lesquelles il fondait en larmes. Un opuscule de méditations quotidiennes du Jésuite saint Pierre Canisius (1521-1597), et des lettres de l'Inde, qui tombèrent entre ses mains, lui firent connaître la Compagnie de Jésus (les Jésuites). Pendant une absence de son père, il reçut saint Charles Borromée, évêque de Milan. Il fit sa Première Communion des mains même du saint cardinal.

 

Revenu à Casale, il fit de grands progrès dans les langues anciennes, lisant surtout Sénèque, Plutarque et les auteurs spirituels. Il fréquentait le couvent des Capucins et celui des Barnabites, dont il admirait la concorde, la douce gaieté, l'ordre de vie et le mépris des choses d'ici-bas. En 1581, de retour à Castiglione, il ne prenait par jour qu'un peu de nourriture, s’infligeait de sévères pénitences, passait une partie des nuits en oraison. Il commença à souffrir de maux de tête qui ne le quittèrent plus. Sans guide spirituel, il aurait pu aboutir à un faux mysticisme, si sa prière continuelle n'avait été : « Dirigez-moi, mon Dieu ! »

 

 

www.santuariosanluigi.it/san_luigi.html

 

 

 

En 1581, son père étant grand-chambellan du roi d'Espagne, Louis devint page du prince héritier à la cour du Roi Philippe II d'Espagne. Il s'adonna aux études scientifiques. Le discours en latin dont il salua Philippe II après la soumission du Portugal, montre que sa formation littéraire était solide. Aux heures des leçons de danse et d'escrime, il s'esquivait malgré les remontrances de son père ; il ne semble pas que l'obéissance ait alors été sa vertu dominante. Il lisait Louis de Grenade (1504-1588), Dominicain espagnol, et réussissait à méditer une heure sans distraction, après avoir lutté parfois pendant trois ou quatre heures. La mort de l'Infant le fortifia dans son mépris du monde qu'il songeait d'ailleurs à quitter depuis Mantoue. Le 2 novembre 1585, il renonça solennellement à la succession de son père au profit de son frère Rodolphe et partit pour Rome.

 

 

 

 

 Entrée chez les Jésuites

 

Après avoir pensé à plusieurs ordres religieux, Louis se décida pour la Compagnie de Jésus qui était dans l'élan de sa première ferveur. Il y était attiré par son goût pour l'éducation de la jeunesse et la conversion des païens (comme les Missionnaires Jésuites aux Amériques). De plus, il était sûr que, dans cet ordre seul, il ne recevrait aucun honneur ecclésiastique.

 

 

La vocation de Louis de Gonzague

www.forez-info.com/actualite/culture/432-reen...

 

 

 

Sur la route de Rome, il s’arrêta à Lorette pour accomplir un vœu de sa mère fait au moment de sa naissance. Par l'entremise du comte d'Olivarès, ambassadeur d'Espagne auprès du Saint-Siège, il fut présenté au Pape Sixte Quint (1520-1590) qui le fit admettre, le 25 novembre 1585, au Collège romain de la Compagnie de Jésus.

 

Louis devint Novice Jésuite au Noviciat de Saint-André sur le Quirinal, où son postulat fut abrégé : il avait donné auparavant assez de preuves de la solidité de sa vocation.  « Il y parut dès les premiers jours comme un modèle digne d'être proposé aux plus parfaits. On vit en lui un prodige de mortification, un ange de pureté, une merveille d'amour de Dieu. La seule vue de Louis dissipait chez les autres les plus violentes tentations de la chair. Jamais il n'avait ressenti la concupiscence charnelle, et malgré cela il était cruel pour son propre corps à l'égal des saints les plus austères. »

 

En octobre 1586, Louis partit pour Naples avec le Maître des Novices. Une infection de la peau et de la fièvre étant survenus, on le renvoya à Rome, au mois de mai, au Collège Romain. Il soutint publiquement des thèses de philosophie, puis fit de  la théologie. Il discutait toujours avec vigueur, mais avec modération, n'interrompant jamais personne.

 

Il prononça ses vœux solennels le 25 novembre 1587 à l'âge de 19 ans. Le 25 février 1588, il reçut la tonsure et exerça la fonction d'ostiaire (portier), puis celles de lecteur, d'acolyte et d'exorciste.

 

 

digilander.libero.it/genesi2000/preghiere.html

 

 

 

 

 Prière, Etude et Charité

 

Louis passera la majeure partie de sa courte vie entre la prière, l’étude et les œuvres de charité.

 

Il était attiré par le tabernacle dès qu'il passait devant une chapelle ou une église. Il y restait « accroché » et ne se dégageait de la Présence du Christ qu'en se faisant violence et en disant avec une indicible tendresse : « Laissez-moi Seigneur ! Laissez-moi ! » 

 

Il sortait avec des vêtements râpés et un sac sur le dos pour recueillir les aumônes. C’est à cette époque-là qu’il écrivit la méditation connue sous le nom de « Traité des Anges ».

 

En septembre 1589, le Père Général des Jésuites lui ordonna d'aller à Castiglione, pour régler une querelle entre son frère Rodolphe et le Duc de Mantoue.

 

De retour à Rome, Louis fit un discours sur les obligations de l'épiscopat, en présence de plusieurs évêques, sur leur demande. Pour fortifier son amour de Dieu, il lisait les Soliloques de saint Augustin (354-430), le Commentaire du Cantique des Cantiques par saint Bernard de Clairvaux (1091-1153), la Vie de sainte Catherine de Gênes (1447-1510) …

 

Quant à son amour pour le prochain, il le manifesta surtout pendant la famine et la peste des années 1590-1591. Il se dévoua à l'hôpital Saint-Sixte, puis à Santa Maria della Consolazione.

 

 

 

 

 Maladie et Mort

 

Un jour, Louis rencontra un pestiféré qu’il porta sur ses épaules. Il contracta ainsi la maladie. Il resta languissant pendant plusieurs mois.

 

 

Louis au milieu des pestiférés (Vitrail, 1927)

arras.cef.fr/page-10053-maison-diocesaine-arr...

 

 

Louis portant un pestiféré

giornoxgiorno.myblog.it/tag/tonino+bello

 

 

 

Dans une sorte de ravissement qui dura toute une nuit, il apprit qu'il mourrait le jour de l'Octave du Saint-Sacrement, le 20 juin. Ce jour-là il parut justement mieux et dut insister à plusieurs reprises pour obtenir le Viatique. On le trouva si bien que le saint Robert Bellarmin (1542-1621) lui-même, son confesseur, ne fut pas admis à rester auprès de lui le soir. Il n'y avait que deux autres Pères et l'infirmier quand il rendit le dernier soupir entre dix et onze heures.

 

 

La mort de Louis de Gonzague

www.gesuiti.it/moscati/Ital5/LGonzaga3.html

 

 

 

Son corps fut enseveli dans la crypte de l'Annonciade. Sept ans plus tard, à cause d'une inondation du Tibre, on enleva le cercueil et on fit une distribution de reliques ; les autres furent mises dans une chapelle de la même église, déplacées plusieurs fois, puis déposées dans la nouvelle église de Saint-Ignace, chef-d’œuvre de l’art baroque, construite à la place de l'Annonciade.

 

 

Autel de saint Louis de Gonzague, Eglise du Gesù, Rome

www.sodalitium.eu/index.php?pid=111

 

 

 

Son premier miracle après sa mort fut la guérison de sa mère, à laquelle il apparut souriant et resplendissant de gloire. Ce fut le signal d'une dévotion qui fut récompensée par de nombreux prodiges.

 

 

www.statuesacre.net/san_luigi_gonzaga.htm

 

 

 

 

 Un Saint pour aujourd’hui

 

Encore de nos jours, saint Louis de Gonzague peut nous éclairer dans notre vie chrétienne. Benoît XVI lui-même a recommandé aux jeunes, aux malades et aux jeunes mariés l’exemple du jeune saint jésuite :

« Que l’exemple et l’intercession de saint Louis de Gonzague, dont nous faisons mémoire, vous pousse, chers jeunes, à accorder de la valeur à la vertu évangélique de la pureté ; qu’il vous aide, chers malades, à affronter la souffrance en trouvant votre réconfort dans le Christ crucifié ; qu’il vous conduise, chers jeunes mariés, à un amour toujours plus profond envers Dieu et entre vous. »

 

 

www.gesuiti.it/moscati/Ital5/LGonzaga3.html

 

 

 

 

 

 Lettre de saint Louis de Gonzague à sa mère (10 juin 1591) :

 

Je chanterai sans fin les miséricordes de Dieu.

 

Que la grâce et la consolation de l'Esprit-Saint, très vénérée mère, soient toujours avec vous.

 

Votre lettre m'a trouvé encore vivant dans cette région des morts, mais prêt à partir pour aller à jamais louer Dieu dans la terre des vivants. Je pensais qu'à cette heure j'aurais déjà fait le pas décisif. Si « la charité, comme dit saint Paul, pousse à pleurer avec ceux qui pleurent et à se réjouir avec ceux qui sont dans la joie », la joie de votre Seigneurie devra être bien grande, pour la grâce que Dieu nous accorde dans ma personne, Dieu Notre-Seigneur me conduisant au vrai bonheur et m'assurant que je ne le perdrai pas.

 

Je vous avoue que je m'abîme et que je me perds dans la considération de cette bonté divine, cette mer immense, sans rivage et sans fond, qui m'appelle à un repos éternel après de bien courtes et bien légères fatigues. Elle m'invite du haut du ciel à ce souverain bonheur que j'ai cherché avec trop de négligence et elle me promet la récompense du peu de larmes que j'ai versées. Que votre Seigneurie veille donc à ne pas offenser cette infinie Bonté, ce qui arriverait sûrement si vous veniez à pleurer comme mort celui qui va vivre en la présence de Dieu et qui vous servira plus par ses prières qu'il ne le fit ici-bas.

 

Notre séparation ne sera pas longue ; nous nous reverrons au ciel et, réunis pour ne plus nous séparer, nous jouirons de notre Rédempteur, nous le louerons de toutes nos forces et nous chanterons éternellement ses miséricordes. Tout ce qu'il fait est bien fait, puisque s'il nous enlève ce qu'il nous avait donné, c'est pour le mettre en lieu sûr et nous rendre ce que tous nous désirons davantage.

 

Je vous écris tout cela uniquement à cause du désir que j'ai que vous, Madame ma mère, et toute la famille receviez la nouvelle de ma mort comme une grande faveur. Que votre bénédiction maternelle m'accompagne et me dirige dans la traversée de l'océan de ce monde et me fasse arriver heureusement au port de mes désirs et de mes espérances. Je vous écris avec d'autant plus de plaisir qu'il ne me reste plus d'autre preuve à vous donner de l'amour et du profond respect qu'un fils doit à sa mère.

 

 

photo de Frère Bruno, décembre 2008

 

 

 

 

 Prière à Saint-Louis de Gonzague

 

Ô Saint Louis de Gonzague, orné de mœurs angéliques, moi, ton serviteur indigne, je te recommande d'une manière particulière la chasteté de mon âme et de mon corps. Je te conjure, par ton angélique pureté, de me recommander à Jésus-Christ, l'Agneau Immaculé, et à Sa Très Sainte Mère, la Vierge des vierges, et de me préserver de tout péché grave. Ne permets pas que je me souille jamais d'aucune impureté ; mais quand tu me verras dans la tentation ou dans le danger de pécher, éloigne de mon cœur toutes les pensées et les affections impures, réveille en moi le souvenir de l'éternité et de Jésus crucifié, et imprime profondément dans mon âme le sentiment de la sainte Crainte de Dieu. Enflamme-moi du Divin Amour, et fais qu'en t’imitant sur la terre, je mérite de jouir de Dieu avec toi dans le Ciel. Amen.

 

Notre Père – Je vous salue, Marie – Gloire au Père…

 

V/ Prie pour nous, saint Louis de Gonzague.

R/ Afin que nous devenions dignes des promesses du Christ.

 

Prions :

Seigneur, dispensateur des dons spirituels, tu as réuni dans le jeune Louis de Gonzague la pratique de la pénitence et une admirable pureté de vie ; si nous n'avons pas la même innocence, accorde-nous, à sa prière et par ses mérites, d'imiter son renoncement.

Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.

R/ Amen.

 

 

www.viarosa.com/VR/StAloysius/Gonzaga.html

 

 

 

 Litanies

traduites de l’italien d’après des Litanies composées

par la Bienheureuse Luigia Mazzotta (1900-1922)

 

- Kyrie eleison.

Kyrie eleison.

- Christe eleison.

Christe eleison.

- Kyrie eleison.

Kyrie eleison.

 

- Jésus-Christ, écoute-nous.

Jésus-Christ, écoute-nous.
- Jésus-Christ, exauce-nous.

Jésus-Christ, exauce-nous.

 

- Père du Ciel, qui es Dieu,

aies pitié de nous.

- Fils, Rédempteur du monde, qui es Dieu,

aies pitié de nous.

- Esprit Saint, Consolateur, qui es Dieu,

aies pitié de nous.

- Trinité Sainte, qui es Un Seul Dieu,

aies pitié de nous.

 

- Sainte Marie,

prie pour nous.

- Sainte Mère de Dieu,

prie pour nous.

- Sainte Vierge des vierges,

prie pour nous.

 

- Saint Louis de Gonzague,

prie pour nous.

- Saint Louis, lys de pureté céleste,

prie pour nous.

- Saint Louis, martyr caché,

prie pour nous.

- Saint Louis, miroir d’obéissance,

prie pour nous.

- Saint Louis, vainqueur du monde,

prie pour nous.

- Saint Louis, tendre amant de la Croix,

prie pour nous.

- Saint-Louis, qui intercèdes pour les pécheurs,

prie pour nous.

- Saint-Louis, guide très sûr de la jeunesse,

prie pour nous.

- Saint-Louis, fils passionné de la Vierge Marie,

prie pour nous.

- Saint-Louis, conseiller des sceptiques,

prie pour nous.

- Saint-Louis, consolateur des affligés,

prie pour nous.

- Saint-Louis, méprisant les grandeurs de ce monde,

prie pour nous.

- Saint-Louis, devenu pauvre pour Jésus-Christ,

prie pour nous.

- Saint-Louis, riche des biens célestes,

prie pour nous.

- Saint Louis, humble et charitable,

prie pour nous.

Saint-Louis, ami privilégié de Jésus Crucifié,

prie pour nous.

Saint-Louis, au centre du cœur du Verbe Divin,

prie pour nous.

Saint-Louis, doux compagnon de ceux qui souffrent,

prie pour nous.

 Saint-Louis, libérateur des prisonniers,

prie pour nous.

Saint-Louis, défenseur des innocents,

prie pour nous.

Saint-Louis, modèle de perfection,

prie pour nous.

Saint Louis, auteur de miracles,

prie pour nous.

Saint-Louis, réconfort et protection de ceux qui t’invoquent,

prie pour nous.

Saint-Louis, maître de sagesse divine,

prie pour nous.

Saint-Louis, fleur solitaire des cloîtres,

prie pour nous.

Saint-Louis, instigateur mystérieux de vocations,

prie pour nous.

Saint-Louis, dispensateur des trésors de la miséricorde,

prie pour nous.

Saint-Louis, zélé de la Parole de Dieu,

prie pour nous.

Saint-Louis, exemple d’humilité,

prie pour nous.

Saint-Louis, terreur des démons,

prie pour nous.

Saint-Louis, émule des Séraphins,

prie pour nous.

Saint-Louis, victime de la charité au milieu des pestiférés,

prie pour nous.

Saint-Louis, qui est allé à la rencontre des mourants,

prie pour nous.

Saint-Louis, qui as été enlevé par des anges dans un ravissement ineffable,

prie pour nous.

Saint-Louis, qui intercèdes pour nos âmes,

prie pour nous.

 

V/ Prie pour nous, saint Louis de Gonzague.

R/ Afin que nous devenions dignes des promesses du Christ.

 

Prions :

Seigneur, dispensateur des dons spirituels, tu as réuni dans le jeune Louis de Gonzague la pratique de la pénitence et une admirable pureté de vie ; si nous n'avons pas la même innocence, accorde-nous, à sa prière et par ses mérites, d'imiter son renoncement.

Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.

R/ Amen.

 

 

 

 

www.cattedralebrindisi.it/public/sezione.asp?...

 

 

 

 

 Prière de Saint-Louis de Gonzague à la Vierge Marie

 

Vierge sainte,

mon guide et ma souveraine,

je viens me jeter dans le sein de votre miséricorde,

et mettre, dès ce moment et pour toujours,

mon âme et mon corps sous votre sauvegarde

et sous votre protection spéciale.

Je vous confie et je remets entre vos mains

toutes mes espérances et mes consolations,

toutes mes peines et mes misères,

ainsi que le cours et la fin de ma vie,

afin que, par votre intercession et par vos mérites,

toutes mes œuvres soient faites

selon votre volonté et en vue de plaire à votre divin Fils.

www.santuariosanluigi.it/basilica.html

 

 

 

 

 Prière de Saint-Louis de Gonzague à Saint-Michel Archange

 

          Ô prince invincible, gardien fidèle de l'Église de Dieu et des âmes justes, vous qui, animé d'une si grande charité et d'un si grand zèle, avez livré tant de batailles et accompli d'entreprises, non pour vous acquérir à vous-même renommée et réputation, comme le font les capitaines de ce monde, mais pour accroître et défendre la Gloire et l'Honneur que nous devons tous à notre Dieu, en même temps que pour satisfaire au désir que vous aviez du salut des hommes, venez, je vous en prie, au secours de mon âme qui est attaquée continuellement et mise en danger par ses ennemis : la chair, le monde et le démon. Vous avez conduit jadis le peuple d'Israël dans le désert, veuillez aussi être mon guide et mon compagnon dans le désert de ce monde, jusqu'à ce que vous m'ayez conduit hors de tout danger dans la terre des vivants, dans cette bienheureuse patrie d'où nous sommes tous exilés.

www.oessg-lgimt.it/OESSG/cavalleria1.htm

 

 

 

 

 

Saint Louis de Gonzague, prie pour nous !

www.parrocchiaditagliuno.it/Dipinti.htm

 

 

 

 

 

Frère Bruno

 

le 31 mai 2010,

9ème Semaine du Temps Ordinaire,

en la Fête de la Visitation de la Vierge Marie